Élections régionales : constat et propositions

Mes chers amis,

Aujourd’hui, je suis un homme engagé mais en colère : engagé dans la campagne des élections régionales en soutenant un homme de projets en la personne de Xavier Bertrand. Mais en colère devant une réforme territoriale que je ne comprends pas.

Pourtant, je suis pour les réformes car la vie est un perpétuel changement. Nos modes de fonctionnement, nos façons de vivre évoluent en permanence. Il est donc logique que nos structures doivent se modifier.

Mais là, quel est l’objectif ? Un objectif dénué de sens à la François Hollande : avoir des régions plus grosses. Pour autant, est-ce que l’on vit moins bien au Luxembourg, en Suisse, en Belgique qui sont des plus petits pays que la France ? Non, alors pourquoi cette obsession de la taille ?

Sans doute pense-t-il que cela coûtera moins cher. Ou encore que ce sera plus efficace. Mais il se trompe une fois de plus. J’en suis sûr pour la simple et bonne raison qu’il n’y a pas UN niveau du mille-feuille administratif qui a été simplifié ou supprimé. Ajoutez à cela une plus forte recentralisation et le tour est joué.

Même les bases d’une réforme territoriale digne de ce nom ne sont pas respectées par la majorité socialiste. Quand Napoléon Bonaparte a réformé le territoire français de fond en comble, il a eu la présence d’esprit de prendre en compte la géographie du pays ! Les préfectures étaient toujours au centre du département par exemple. Mais je ne devrais pas faire l’honneur à François Hollande de le comparer à Bonaparte.

Si on revient aux affaires en 2017, faudra-t-il pour autant supprimer cette réforme voulue par le Président de la République ? Malheureusement je ne pense pas que ce soit possible mais on pourra la revisiter.

En tout cas, pour le moment, nous ne pouvons faire concrètement qu’une chose : gagner ces élections régionales ! Gagner avec Xavier Bertrand !

Je suis optimiste car nous avons les hommes et les idées. Et c’est la moindre des choses vu les tâches énormes qui nous attendent.

Pour resituer tout ce que nous avons à accomplir, voilà quelques chiffres de la région que nous avons le devoir de redresser :

Le taux de chômage du Nord-Pas-de-Calais étant de 12,9% et celui de la Picardie de 11,6%, nous aurons le taux de chômage le plus élevé de France.

  •  La pauvreté en Nord-Pas-de-Calais culminant à 19,7% et celle de Picardie étant de 15,5%, nous serons la deuxième région la plus pauvre de France.
  •  Le salaire annuel moyen net en Nord-Pas-de-Calais est de 25 188 euros et celui de Picardie est de 25 656 euros. Ajoutez à cela que le PIB par habitants en Nord-Pas-de-Calais est de 25 822 euros et celui de Picardie de 24 450 euros, et nous avons le plus faible niveau du pays. Un niveau tellement faible qu’il est deux fois moins important que celui des franciliens !
  •  Néanmoins, tout ne sera pas noir car nous serons la troisième région la plus peuplée de France. Et mieux encore : la région la plus jeune du pays avec 33,1% de jeunes pour 5 985 700 habitants !

Pour réaliser tous ces défis, nous aurons 170 élus dans la nouvelle grande région : 70 dans le Nord, 43 en Pas-de-Calais, 23 dans l’Oise, 18 seulement dans la Somme et 16 dans l’Aisne. Le vainqueur aura forcément la majorité absolue puisqu’il bénéficiera d’une prime de 25% d’élus d’office sur sa liste.

Pour créer une région dynamique, nous bénéficierons également d’un budget de près de trois milliards d’euros. Il sera consacré aux nouvelles compétences attribuées aux régions par la loi Notr, à savoir les fonds européens, l’aide aux entreprises, les schémas d’aménagement, le numérique, l’enseignement supérieur, la recherche, l’innovation, les ressources en eau, les déchets et les transports. On notera d’ailleurs l’absurdité de l’Etat qui a donné à la région la compétence des transports scolaires alors qu’il est évident que c’est une compétence de proximité qui aurait dû être laissée aux départements.

Au vu des chiffres que j’ai rappelés tout à l’heure, et comme nous vivons dans une économie mondialisée, il va falloir mettre l’accent sur l’attractivité économique du territoire en attirant les jeunes créateurs et en donnant envie aux entreprises existantes dans notre région d’y rester. Pour cela, une fiscalité modérée, seul levier des politiques en la matière, est indispensable.

Nous devons également miser sur la formation professionnelle et sur l’apprentissage. Pas seulement parce que nous serons une région où le chômage et la pauvreté seront élevés, mais aussi parce que nous serons une région jeune, comme je l’ai rappelé tout à l’heure. Nous serons également une région céréalière et industrielle avec 45 300 emplois dans le monde agricole et 315 900 dans le monde industriel. C’est donc un enjeu majeur, et pour preuve, les deux régions Nord-Pas-de-Calais et Picardie le montrent bien puisqu’elles y consacrent une grande partie de leur budget : 15% du budget pour la Picardie, soit près de 160 millions d’euros ; et 24% du budget pour le Nord-Pas-de-Calais, soit 520 millions d’euros. Il faudra maintenir ce rythme budgétaire si l’on veut redresser notre grande région.

Mais les jeunes, ce sont aussi les étudiants. Il faudra penser à restructurer le système universitaire en donnant toute sa place à l’Université Picardie Jules Verne qui, de par sa qualité d’enseignement et son nombre d’étudiants, a toute sa place sur ce nouveau territoire.

La mobilité sera également un enjeu important pour le bon développement du Nord-Pas-de-Calais-Picardie avec, pour clé de voûte, l’avancée du projet du canal Seine-Nord-Europe. Mais ce n’est pas tout : si on peut déplorer l’abandon de l’autoroute Amiens-Arras-Lille à cause des Verts et de Marie-Christine Arnautu, on pourra redresser la barre en créant un axe Abbeville-Amiens-Saint-Quentin en milieu de région. Cela aura pour conséquence un rééquilibre du territoire avec le sud de l’Oise et la métropole lilloise. Je fais confiance à Xavier Bertrand pour voir aboutir ce projet.

Et enfin, en ce qui concerne Amiens, je fais entièrement confiance à Brigitte Fouré. Déjà pour faire barrage au Front National, car notre département est celui où le FN a fait le moins bon score dans toute la future grande région. Mais aussi pour défendre nos couleurs. Brigitte Fouré l’a brillamment fait en se battant pendant de longs mois pour qu’Amiens soit capitale régionale. Nous avons hélas aujourd’hui de faibles chances d’avoir ce statut alors que l’emploi administratif dans cette ville représente 40% ! Il va falloir que cette aventure soit gagnante pour Lille bien évidemment, mais aussi pour Amiens. Mais avec Brigitte Fouré dans le futur exécutif régional, je n’en doute pas une seule seconde !

Olivier Jardé

 

 

 

Mon point de vue…

En qualité de président départemental du Nouveau Centre, je me suis exprimé par communiqués sur le manquement au respect des règles statutaires de l’UDI. En tant que responsable politique amiénois, je souhaite ici donner mon point de vue pour éclairer, s’il se peut, une situation confuse.

  1. Sur les personnes

            Respectueux des engagements pris, je me suis immédiatement retiré de la compétition comme tête de liste dès lors que Brigitte Fouré me distançait dans le sondage demandé par mon parti alors même que l’écart était faible et que la « défaillance » de Gilles Demailly changeait profondément la donne.

            J’ai immédiatement approuvé le projet d’accord avec Alain Gest, président départemental de l’UMP, présenté par Brigitte Fouré et écrit que je participerai pleinement à sa liste, dès lors qu’elle obtiendrait l’investiture de l’UDI et un accord national sur le partage des rôles et le poids accordé à l’UMP.

            Je maintiens cette position car je reconnais pleinement la légitimité de Brigitte à briguer cette fonction et j’ai pu apprécier les qualités de dynamisme et d’autorité d’Alain Gest lorsque j’ai travaillé à ses côtés au Conseil général.

            Mais je reconnais aussi pleinement la légitimité d’Hubert de Jenlis, mon excellent collègue au Conseil général, à briguer la tête de liste de l’UDI. Il a su fédérer des élus et responsables amiénois et son souhait de renouveau de la classe politique amiénoise n’est pas dénué de fondement. C’est un mauvais procès qu’on lui fait en l’accusant d’être passé de l’UMP à l’UDI ! Avec loyauté, il a suivi les orientations du parti radical qui a quitté l’UMP pour former l’UDI avec le Nouveau Centre.

  1. Sur le rapport UMP/UDI

            La dyarchie prévue (Mairie à l’une, Métropole à l’autre) n’est pas acceptable, ni pour les Amiénois, ni pour le Nouveau Centre.

Pour les Amiénois parce que, outre les surcoûts et dysfonctionnement générés, ils auraient le sentiment de confier l’essentiel de leur avenir à quelqu’un qui n’a jamais souhaité être élu à Amiens et a davantage appréhendé les problèmes ruraux que ceux d’une métropole industrielle, commerciale et de services.

            Pour le Nouveau Centre, rien ne justifie d’abandonner la gestion de la Métropole à l’UMP, tout comme il lui semblerait peu convenable de demander la même parité aux maires UMP de St-Quentin, Beauvais ou Compiègne.

            Première formation politique à droite depuis 1971, elle a assumé les fonctions de tête de liste et de maire sans discontinuer. Je ne vois donc pas en quoi le départ du parti radical de l’UMP pour se fondre dans l’UDI, aurait renforcé l’UMP depuis 2008.

  1. La solution

            Il appartient évidemment à la commission nationale d’investiture de l’UDI de choisir le candidat auquel elle donnera l’investiture, ainsi que les modalités d’un accord ou pas avec l’UMP. Cela relève de choix et d’équilibres nationaux.

            Il n’est, pour moi, pas concevable que ce choix se fasse sans que nos adhérents du Nouveau Centre (je parle de ce qui me concerne) aient rencontré les candidats, entendus leurs projets de programme, de liste, d’alliance. A fortiori si le candidat choisi n’est pas adhérent du Nouveau Centre.

            Parce que les sensibilités de chacun doivent être respectées, je regrette que le Président départemental du parti radical ait pris parti pour un candidat et un accord avec l’UMP en contradiction avec nos statuts. Il a sans doute oublié que le parti radical n’est plus dans l’UMP mais dans l’UDI.

  1. Les alliances

            L’alliance traditionnelle avec l’UMP est souhaitable et tout doit être faite pour un accord équilibré qui prenne en compte le poids politique de chacun. Il est autour de 1/3 pour l’UMP et 2/3 pour l’UDI, ce qui est plus pour l’UMP qu’en 2008. Chacun prendrait sur son contingent des personnalités issues de la société civile indispensables à une bonne représentation de la liste.

Si l’UMP pense représenter beaucoup plus, je ne refuserais pas une primaire loyale de premier tour qui départagerait les candidats et serait plus claire que des marchandages laissant aigreur et amertume. Le second tour, comme à gauche, se ferait dans l’union sur le programme du vainqueur de la primaire.

  1. Le programme

            Une priorité s’impose : la lutte contre le chômage

L’attractivité d’Amiens exige une baisse progressive de la fiscalité des Amiénois. Elle est la seule solution applicable dès 2014 aux problèmes de l’emploi. Les entreprises ne se développeront que si elles sentent un environnement favorable.

Le candidat devra dire clairement sa position sur la fiscalité car les Amiénois ne supporteront pas, une fois encore, les mensonges du candidat. Il faut annoncer cette politique fiscale et la mettre en œuvre, c’est à dire annoncer où se feront les économies.

            Le candidat devra prendre position sur les problèmes de transports, de sécurité, de logement, d’action sociale, et bien sûr, de l’organisation politique, d’une gestion de proximité avec le retour des adjoints de secteurs.

 

Conclusion : les personnes comme les alliances, pour indispensables qu’elles soient, ne sont rien sans la clarté d’un programme qui les engage, la force d’un dessein qui les fédère, la puissance d’une volonté d’agir qui les porte.

Alors, les citoyens sceptiques écouteront et s’engageront, alors les Amiénois dubitatifs et las des promesses se mobiliseront, alors la victoire aura un autre sens que l’adoubement d’un nouveau maire, elle représentera l’espoir d’une ville pour son avenir et la certitude que les efforts demandés à tous, et d’abord aux élus, sont le fondement d’un renouveau attendu.

Amiens, le 9/9/2013

Communiqué

Communiqué d’Olivier JARDE

Président départemental du Nouveau Centre de la Somme



La déclaration de candidature de Brigitte Fouré et l’accord annoncé avec Alain Gest ont provoqué une vive émotion chez nos militants centristes amiénois.
Les adhérents amiénois du Nouveau Centre, réunis le 29 août 2013, sont favorables à la volonté d’union avec l’UMP manifestée dans ce projet.

En revanche, ils considèrent, à une très forte majorité, que l’auto-proclamation de l’investiture de Brigitte Fouré est contraire aux statuts et, à ce titre, nulle et non avenue. Ils rappellent que, statutairement, seule la commission nationale d’investiture de l’UDI est légitime pour la désignation de la tête de liste.
Ils considèrent, à une très forte majorité, que les modalités annoncées de cet accord ne sont pas acceptables par le Nouveau Centre d’Amiens.

La création d’une dyarchie entre Amiens et Amiens Métropole serait aussi coûteuse en doublons qu’inefficace dans la gestion de ces collectivités. Les Amiénois n’accepteront pas sans explications convaincantes les conséquences d’arrangements politiques électoraux qu’ils devront supporter.
La place accordée à l’UMP ne reflète en rien le poids politique des deux formations dans la ville ni dans la métropole
Il est indispensable qu’une procédure, conforme aux statuts, soit mise en place après une concertation locale. Les deux candidats à la candidature centriste devraient d’abord présenter leur projet et les bases de l’accord souhaité avec l’UMP devant les adhérents afin de les informer et recueillir leurs remarques et suggestions. Celles-ci seraient adressées à la commission d’investiture UDI qui pourrait faire un choix en étant informée des réactions de ceux qui, en définitive, se mobiliseront, ou pas, pour le candidat investi.

Amiens, le 03.09.2013

Communiqué

Après la déclaration de Brigitte Fouré et Alain Gest…

Il faut se féliciter de la déclaration commune de Brigitte Fouré et Alain Gest annonçant un projet de liste d’union aux les prochaines élections municipales d’Amiens et je les ai immédiatement assurés de mon soutien.

J’ai cependant rappelé que les statuts de l’Union des Démocrates et Indépendants (UDI) qui valent loi pour le Nouveau Centre, stipulent que seule la commission nationale d’investiture est habilitée à investir nos candidats et à négocier avec le partenaire UMP.

Ce rappel de ma part n’est pas de forme : il est de fond. A ma connaissance, et je le déplore, l’UDI n’a pas encore investi de candidat centriste à Amiens. Il faut qu’elle se hâte de le faire en expliquant son choix.

L’union ne peut relever que d’une négociation nationale avec l’UMP surtout pour lui attribuer la présidence d’Amiens Métropole. On ne peut imaginer que l’UDI abandonne sans motif ni contrepartie une agglomération régionale comme Amiens Métropole alors qu’elle a, seule, des élus municipaux et départementaux amiénois et qu’elle a détenu la députation de 1986 à 2012. La contrepartie minimum serait qu’un accord similaire soit passé dans les villes tenues par l’UMP en Picardie comme St Quentin, Beauvais et Compiègne.

Aujourd’hui en effet, et de plus en plus demain, c’est Amiens Métropole qui décidera de l’avenir des Amiénois puisqu’elle a compétence sur le développement économique, les nouvelles technologies, l’enseignement supérieur et la recherche, l’aménagement des zones d’activités, les transports, la culture et le sport avec les équipements qui s’y rattachent, l’environnement et une large part du logement social.

Cette proposition de découpler la gestion de la ville de celle de la Métropole en créant une sorte de dyarchie pose d’autant plus de problèmes qu’à Amiens justement, tout a été fait (avec difficulté), pour fusionner les services et les procédures et faire qu’une seule administration serve à la fois la ville et la Métropole. A qui obéira-t-elle ? Ou faudra-t-il la re-diviser et recréer des cabinets, des secrétariats, des chauffeurs et des locaux ?

Décider que 75% de la population de la Métropole ne choisissent pas le président de l’agglomération mérite plus qu’une conférence de presse.

Nos priorités, longtemps débattues restent l’emploi qui exige d’abord une baisse résolue de la fiscalité, la sécurité et la démocratie locale.

Si la commission d’investiture validait la solution proposée par Brigitte Fouré et Alain Gest c’est à ces problèmes majeurs que nous devrions nous attaquer.

O. Jardé
Président départemental du Nouveau Centre
Vice Président départemental de l’UDI

Devoir de vacances …

 

Les élus du Nouveau Centre et de l'UDI, Hubert de Jenlis, Brigitte Fouré, Maryse Fagot

Les élus du Nouveau Centre et de l’UDI, Hubert de Jenlis, Brigitte Fouré, Maryse Fagot

Le lundi 1° juillet a été l’occasion d’organiser notre premier barbecue sous la bannière de l’UDI – Nouveau Centre. C’est aussi le dernier avant l’échéance électorale primordiale de 2014 car les élections municipales doivent nous permettre de reconquérir Amiens, Abbeville, Péronne…

A Amiens, votre liste incarnera l’espoir.

Pour Amiens c’est une nécessité car dans un déni de démocratie :

– la fiscalité s’alourdit,

– la situation au regard du logement, priorité annoncée de Gilles Demailly, s’est aggravée,

– la situation des crèches et de la restauration scolaire, compétence municipale, n’ont pas trouvé de solution adaptée aux besoins des administrés,

– l’emploi régresse.

Je peux vous dire aujourd’hui que parmi nous, il y a consensus en faveur de l’emploi. A mon  sens, il est la priorité, car seul le développement économique de la métropole permettra de lutter contre le chômage et la crise. Plus dure ici qu’ailleurs.

Oui,  la crise est là, internationale, nationale. Pour autant,  il existe des disparités majeures entre les territoires. Comment l’expliquer autrement que par des maladresses ou une incapacité à l’affronter à Amiens pendant qu’Albert parvient à développer des ressources ?

Je suis convaincu que seules des mesures immédiates, concrètes, opérationnelles, efficaces permettant une baisse significative de la fiscalité, peuvent nous aider à passer ce cap difficile. Elle suppose la révision des choix d’investissements, en les adaptant par une fiscalité clairement tournée en faveur de l’emploi.

En effet, le tramway, la 4éme piscine, le réseau chaleur au sud d’Amiens sont autant de dépenses de fonctionnement qui ne répondront pas à une politique en faveur de l’emploi des Amiénois.

Les élus, eux aussi, doivent être exemplaires, parce qu’il convient de restaurer la confiance pour la classe politique encore récemment mise à mal.

Ces efforts faits ils pourront justifier les efforts demandés à l’administration et aux partenaires qui agissent en faveur de l’emploi.

Je suis convaincu ainsi que vous pourrez donner à notre métropole et plus encore à toute la Picardie dont Amiens doit être la locomotive, une chance de renouveau.

A titre personnel, je veux continuer à servir mon département notamment au Conseil général de la Somme car je me bats au quotidien pour ses administrés trop souvent maltraités.

C’est pourquoi aujourd’hui,  je vous le dis,  je ne souhaite pas me retirer du contexte politique local.

Mon blog va désormais se mettre au repos en attendant d’autres propositions d’actions que je soumettrai aux candidats choisis pour conduire nos listes dans ce département ne serait-ce qu’en qualité de président de ma formation politique.

En attendant je souhaite à toutes et tous un bel été !

Bien cordialement,

Olivier Jardé