Le projet de la Citadelle est-il encore une urgence ?

Vue aérienne de la Citadelle d?AmieLe projet d’aménagement du site de la Citadelle pour y accueillir des bâtiments universitaires est sans aucun doute un beau projet.

Je l’ai voté lorsque j’étais conseiller d’Amiens Métropole et soutenu lors du vote des budgets au Conseil Général et même auprès de Valérie Pécresse au Ministère de l’enseignement Supérieur alors que j’étais Vice-Président de la commission de l’enseignement supérieur et de la recherche à l’Assemblée nationale. Continuer la lecture

AMIENS, ville moyenne !

blog-presse-nobel OJ AMiensCertains ne voient déjà plus Amiens comme capitale régionale, mais lui donner comme avenir d’être une ville « moyenne » interroge !

Le dernier Conseil municipal a été agité, selon le Courrier Picard, et on peut comprendre la fureur de Marc Foucault ou de Bernard Nemitz de voir ainsi afficher sans fard la vision future de notre cité. Continuer la lecture

Humeur du jour…

A l’heure où la police et la justice déploient des moyens importants (RAID, GIPN, CRS, Zone de sécurité prioritaire…) pour procéder (enfin!) aux arrestations en lien avec les événements de l’été dernier. Au moment où, à Amiens, il y a débat sur l’insécurité sans toutefois se donner les moyens d’y faire face, je regrette qu’une attention de même intensité ne soit pas portée à la lutte pour l’emploi avec un vrai débat sur le développement économique, la formation et les stratégies haut débit !

Fred Thorel a eu raison !

mairie d'Amiens OJAlors que, jusqu’à présent, personne au conseil municipal, n’osait s’interroger sur la nécessité d’un tramway en pleine crise du chômage et des finances publiques, voilà que les langues se délient et osent l’outrecuidante question : « la réalisation d’un tramway est-elle une priorité qui justifie que tout, y compris la lutte contre le chômage, lui soit sacrifiée ? ». Continuer la lecture

Si l’Adjoint aux Finances de la ville était Pinocchio…

pinocchio OJSi l’Adjoint aux finances était Pinocchio, il ne pourrait plus écrire tant son nez serait long et interdirait à la main d’atteindre le papier.

Après Gilles Demailly, placardant sur les murs,  » je m’engage à ne pas augmenter la fiscalité ! « ,  voilà le financier, habituellement plus attentif, nous refaire le coup de la promesse main sur le cœur !

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